

MIGRATION AAANNUELLE :
MAI 2013 à AZROU |
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Ce sont les Hatchondo qui
constituent cette année l’avant-garde de la délégation de l’AAA : ils
partent dès le samedi 27/04 (en compagnie de leur fille et de
leur petit-fils pour les congés scolaires). Après avoir vivement
traversé l’Espagne, ils profitent du printemps dans le royaume
chérifien.
Les Laulau quittent le Grand Sud Vendée le jour de l’Ascension et
traversent plan-plan une Espagne très verte en s’arrêtant, comme les
vieux chevaux, à leurs habituelles écuries. Embarquement à Algesiras le
samedi midi : comme H&M, on recommande, dans l’enceinte du port,
l’agence Koutoubia dont le responsable est très compétent et fort
aimable et d’où vous repartez avec vos fiches passagers-véhicules pré
remplies en un clin d’œil pour la police et la douane. Vive
l’informatique ! Pause à Ceuta pour les traditionnelles emplettes et
départ matutinal et dominical pour franchir rapidement la frontière et
arriver pour le déjeuner au Pano par un temps idéal, le dimanche 12
mai. |
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C’est Khadija (superbe !) qui les y
accueille. Après les retrouvailles avec le personnel, le déjeuner et une
petite sieste, le ouèbemastère va faire un tour en ville et au kiosque
pendant que bobonne défait les valises. En fin d’après-midi, Marya et
Farida Naït Lho viennent les rejoindre et Marya restera dîner pour
continuer l’inépuisable bavardage. Dans le hall, ils retrouvent un
Cherfaoui très en forme et en verve et un fils Daniel venu célébrer le
cinquantenaire du lycée Paul Valéry de Meknès. |
Lundi 13 mai
Après le p’tit déj, les Sud-Vendéens retrouvent Rachid, toujours aussi
cordial et qui leur assure qu’il mettra tout en œuvre pour que le séjour
de la délégation se passe au mieux : on sait qu’on peut lui faire
confiance ! Ensuite, ils vont saluer Neghrassi père et fils. Abdou, le
génial bricolo, remet à neuf en trois délicats coups de pince la
fermeture à glissière délabrée du caban de JF et Moha déplie, pour le
plaisir des yeux et en fournissant des explications d’expert, de
magnifiques hendiras cependant que les chats du lieu font des
démonstrations d’affection. Mais il faut rallier Fès pour accueillir les
Fayolle à l’aéroport. La route, en travaux, paraît un peu longuette
mais ça verdoie de partout, notamment dans la plaine du Saïs et le
soleil et la chaleur persistent. En se stationnant sur le parking de
l’aéroport, les Laulau aperçoivent not’ président tout neuf, Missel
notre ex et Christ son épouse en quête de leur loueur de voiture : ça
ira promptement. Juste le temps d’avaler un sandwich médiocre (espérons
qu’avec l’extension en cours de l’aéroport la cuisine fassie trouvera sa
place…) et voilà les Fayolle qui débarquent et sur la route, Paul n’en
croit pas ses yeux en découvrant l’extension d’Ifrane. |
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Après une installation rapide, le
groupe bien étoffé, profite du soleil pour faire une descente en ville,
y saluer sur la place Hassan, Neghrassi, Zoulal et fait un coucou (et un
point sur les besoins) à Dar el Amane où une jeune femme a été récemment
accueillie avec son bébé. Rejoint par H&M, le groupe se rince rapidement
le gosier avant l’excellent dîner concocté par le « Largo » :
crème de courgettes ou de légumes, côtelettes d’agneau (croustillantes
dessus, fondantes dedans) aux légumes printaniers et salade d’oranges à
la cannelle, le tout arrosé d’un bon cru meknassi.
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Le lendemain, mardi 14, personne ne traîne au p’tit déj : c’est
jour de SOUK. Le chaud soleil y exalte les couleurs et les
odeurs. Les déplacements y sont relativement aisés malgré l’affluence
maintenant que les éventaires ont retrouvé une disposition ordonnée et
que les allées ont été aplanies et élargies. Nous y retrouvons Moha
Neghrassi, côté tapis et Fadil, un de nos jeunes protégés de l’AMAED,
incroyablement grandi et épanoui, qui prête main forte à un membre de sa
famille à un stand de brochettes odorantes. Côté volailles et bétail, la
progression est plus difficile ! Nous rejoignons les Cèdres pour le jus
d’orange maison et y retrouvons l’ami Bourhrous. Un message nous apprend
que les Thoulouze Coustaury ont débarqué comme prévu à Tanger-Med. Nous
avançons jusqu’à notre cantine préférée près du marché. Rajae, la
pétulante mascotte du lieu est absente, mais alertée par ses parents,
elle arrive rapidement poussant devant elle un petit ventre
rebondi : naissance prévue pour
octobre. Tandis que nous nous régalons de tagines ou de keftas, elle
file laver des pêches du marché et les cerises qu’Abderrahmane nous a
vendues à prix d’ami. |
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Après une pause au Pano, nous
montons à Tioumliline. Le berger de la ferme, responsable des
clés de l’ex-monastère, nous fait visiter la chapelle, le réfectoire et
la cuisine. Il nous confie que son jeune frère a figuré dans le film
« Des hommes et des dieux » et lorsqu’il apprend que Paul a vécu un an
(1970-1971) dans les lieux, il nous conduit jusqu’aux cellules des
étages (certaines rénovées pour les besoins du film) d’où on découvre un
panorama magnifique puis il nous fait accéder au « quartier des
célibataires ». C’est assez délabré mais la baignoire de Marie-Thé est
toujours en place ! Paul ressort de là un brin ému… Après avoir
chaleureusement remercié notre gentil guide, nous décidons de pousser
jusqu’au Cèdre Gouraud. Avant d’y parvenir, nous faisons une longue
halte pour assister aux facéties d’une colonie de singes puis nous
immortalisons le squelette du Cèdre avant de rattraper la route Ifrane-Azrou.
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Les Thouthou et les Couscous
arrivent pilepoil pour participer à la réunion de travail et de détente
à la «bodega Lonépadissi (mé presq’) » -dixit Missel- sachant
que ladite bodega est sise… au 1er étage ! Le programme du lendemain
est mis au point (entre deux rondelles d’alouf ibérique et deux gorgées
de rafraîchissements) avant le dîner (salades composées, omelette aux
morilles, salade de fruits arrosées de notre « boisson coutumière »
-dixit (bis) Missel-). |
Mercredi 15, IL FLOTTE et pas pour
de rire ! Ce qui n’empêche pas DD, notre trésorier, de foncer dès 8h30 à
la banque, après quoi il s’occupe de régler le contrat d’assurance du
minibus et l’abonnement internet en compagnie de son alter ego de Dar
el Amane. Danielle et JF descendent en ville pour prendre
rendez-vous avec le Pacha qui les reçoit immédiatement et très
cordialement. Ils rejoignent le groupe déjà présent à l’école du centre
et qui prend note des souhaits bien définis, exposés par le nouveau
directeur, l’institutrice que nous connaissons déjà et le responsable
des parents d’élèves (ancien d’Al Atlas, surnommé « La Voix ») pour la
classe d’enfants à besoins spécifiques. Ambiance très
sympathique. Petite pause aux Cèdres, où les éclats de rire de Cherfaoui
font oublier la grisaille extérieure, avant de profiter des spécialités
de notre restau du marché (on nous sert de délicieux melons verts au
dessert). |
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De gauche à droite : le directeur de l'école, le
Président de l'aasociation, GT, l'institutrice, MF |
Sachant que les deux journées qui
vont suivre seront bien remplies, nous faisons un saut à l’improviste
chez Lekorchi. Nous y passons un trop court mais délicieux (à
tous points de vue) moment. Nous apprécions tous la bonne humeur et le
sens de l’accueil de notre ex-collègue et de son épouse toujours aussi
complices. De retour au Pano, nous voyons arriver Halima, néo-retraitée,
mais très affectée par le décès de sa fille pour laquelle elle avait
continué à travailler afin de lui assurer les soins indispensables mais
coûteux et hélas, inopérants. Puis voilà Hassan, en grande forme et
aussi Marya qui embarque la rédactrice pour quelques courses
programmées. Vers 19h, c’est la réunion rituelle con tapas y bebidas à
l’intérieur (vu le temps) de la bodega du 1er étage avant de faire un sort à
trois soupières de harira, fort appréciée (vu le temps), suivies de
tartes aux pommes et arrosées de… etc… |

Le sympathique couple Lekorchi |

Halima |

A la recherche du menuisier disparu |
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Le jeudi 16, il FLOTTE et ça
CAILLE ! Mais nous faisons honneur au p’tit déj, amélioré par les
douceurs apportées la veille « comme d’habitude » par Halima.
Côté programme, ça coince un peu : s’il n’y a pas de souci côté commande
pharmaceutique de l’AMAED, le groupe qui s’occupe de satisfaire
les demandes de Dar el Amane avec son trésorier rentre bredouille : pas
de pare-brise adéquat pour remplacer celui du minibus, marchand de
meubles (pour le bureau) fermé et menuisier absent pour les casiers/
porte-manteaux. On fait grise mine pour la réunion bilan et bebidas de
la bodega du 1er étage mais H&M nous consolent
puisqu’ils ont mené à bien leur mission en compagnie de Soumia : achats
de sandales, de produits d’hygiène, de sous-vêtements pour les ados et
de gâteries pour les pensionnaires de Dar el Amane. Vu le temps
(ter) nous optons pour un déjeuner sur place : menu du Pano + etc.,
etc... |
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En début d’après-midi, Halima, la
Hadja, nous rend, de nouveau, visite pour distribuer aux filles de
petits souvenirs. Merci encore à elle ! A 15h un groupe se rend à l’école
du centre où la livraison comprend du matériel scolaire,
informatique, photo et des ballons de foot. Un autre groupe fait affaire
avec le menuisier (qui a cessé de jouer les fantômes) moyennant acompte
et règle aussi le problème du bureau. Pour le pare-brise, c’est toujours
walou. Nous nous retrouvons tous chez Aïcha et Mohammed
Bourhrous pour le thé accompagné de délicieuses crêpes. Aïcha souligne
discrètement les difficultés qu’elle éprouve pour poursuivre son action
en faveur des jeunes diabétiques : elle ne dispose toujours pas
de local dédié à l’accueil, recevant les jeunes et leurs familles dans
un couloir, aussi attend-elle avec impatience la réouverture de
l’hôpital où les travaux ne sont pas encore terminés.
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Marya avec sa belle-soeur, sa pétulante copine et sa
nièce |
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A 19h, petite pause à la bodega
avant de rejoindre le domicile de Marya Naït Lho à Ahadaf. Nous ne
serons pas treize à table puisque, outre l’hôtesse, sont aussi présents
sa sœur Farida, son frère Saïd et son épouse, sa nièce, sa copine qui a
une pêche d’enfer et Kenza Belghiti. Pendant l’apéro local (thé et
petits gâteaux) notre président annonce à Marya son admission à
l’AAA en tant que membre d’honneur. Ravie, elle prend la pose
entre ses parrains, Missel et MLF (toute contente d’accueillir la
première Marocaine dans l’association). Elle nous régale ensuite d’une
bstela aérienne puis d’un délicat tagine aux fruits (pruneaux,
abricots, pommes, poires, ananas) et la corbeille de fruits du dessert
contient, entre autres, des cerises goûteuses qui ne proviennent
cependant pas du verger familial en raison du temps maussade de ce
printemps. Une chouette soirée, très détendue que nous quittons les bras
chargés de spécialités locales. |
Vendredi 17, le soleil
alterne avec la pluie mais on se CAILLE toujours. H&M montent à
l’université d’Ifrane avec Bourhrous pour faire une bise à Amal (qui
recevra son diplôme le 15 juin, bravo à elle). Les Laulau vont eux
faire la bise d’adieu aux Neghrassi, qui ont évidemment dégoté THE
théière promise aux n’enfants et petits-n’enfants. A 12h, la troupe est
au rendez-vous chez Hassan et Soumia où nous attendent salades variées,
couscous, fruits etc. etc. etc.. Excellente adresse et excellente
ambiance, un grand merci aux aubergistes ! Promenade digestive en
kissaria pour des emplettes de maroquinerie et des provisions d’épices
avant de rejoindre Dar el Amane à 18h30. Toujours pas de pare-brise
mais le reste des achats a été regroupé dans la salle commune et les
jeunes manifestent leur satisfaction. Cette année, innovation : ils
avaient participé à l’élaboration de la liste des priorités. |
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Ito |
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Un aspect de Port Med (les arabisants auront lu sur la
montagne "Dieu, le roi, la patrie") |
Samedi 18 mai le temps ne s’arrange
toujours pas. Les Hatchondo ont pris la route du retour aux aurores (ils
feront dodo à Tarifa et arriveront at home à 22h le dimanche pour...
remettre le chauffage). Les autres prennent leur dernier p’tit déj’
commun. Cricri râle un chouia car c’est elle qui, les héraultiques
restant une journée supplémentaire, doit se charger des public
relations, en l’occurrence la répartition de la collecte destinée au
personnel.
DD&D et A&A prennent la direction
du sud : ils trouveront la neige au col du Zad (pas étonnant, il fait 4°
à Azrou) mais ensuite, soleil et chaleur les accompagneront jusqu’à
Laâyoune et ils font de belles photos de leur équipée. Leur retour
s’effectuera depuis Tanger Med essentiellement par la voie maritime. |

Hôtel Transatlantique |
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Les Fayfou et les Laulau rejoignent
séparément le Transat à Meknès, les premiers en « taxi » obtenu grâce à
l’entregent de not’ président, les seconds véhiculant Azzaoui qui doit
prendre le train à Meknès. Au rondpoint de l’embranchement vers la
Darouche après El Hajeb, le ouèbemastère se fait (injustement) stopper
par un uniforme à jumelles ; il est prêt à exploser et il faudra toute
la diplomatie de notre vieux pote, ancien responsable des TP et, à ce
titre, examinateur des permis de conduire pour lui sauver la mise. Après
un détour par la gare, c’est la halte au Transat, partie ancienne
évidemment. Accueil éminemment sympathique en tant que « locaux » et
découverte d’une nouvelle table sur place : une vue imprenable sur la
médina, un maître des lieux plein d’entrain, une fine cuisine, La
Table de Philippe nous séduit à tel point que nous y reviendrons
pour le dîner. Les Fayfou passent l’après-midi sur les traces du passé
de Paul (Moulay Ismaïl, son ancien logement...) et Martine est ravie de
découvrir, comme à Azrou, des lieux dont elle avait tant entendu parler.
Déception en revanche pour MLF qui n’arrive pas à joindre sa copine Zhor,
et pour cause : elle est aux Etats-Unis ! |
Le lendemain, dimanche 19 mai,
les Laulau laissent les Fayolle poursuivre la (re)découverte de Meknès,
Volubilis et Fès (d’où ils s’envolent le mardi) pour séjourner à Tarifa.
La rédactrice y arrive « con las tripas revueltas » et sera contrainte
de se contenter de bouillon, riz et yaourts en guise de spécialités
andalouses... Le soleil est revenu mais disparaît pour le retour dans
l’évêché crotté le dimanche suivant.
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Le trio qui jouait les prolongations
à Azrou a bravé le froid du samedi 18 pour faire des achats à
l’Artisanat avant de pique-niquer chez not’ président (hébergé chez
Fatima, ancienne maison Duffal). Promenade digestive ensuite (motorisée
quand même) pour photographier des cigognes sédentaires sur la route de
Khenifra à proximité de la propriété de Kenza Belghiti. Au retour, pause
au café Bilal pour se réchauffer d’un chocolat avec Bourhrous, Bilal et
un capitaine de gendarmerie (ancien élève). Puis visite à Dar el Amane :
le problème du pare-brise est résolu, l’infatigable trésorier du
complexe en ayant trouvé un « djedid d’occasion » à Meknès et il
a même pu faire réparer les feux arrière ! Pour épuiser l’enveloppe
allouée à Dar el Amane, le trio a acheté en librairie des dictionnaires
et un manuel d’orthographe des homonymes, déposés avant de faire des
adieux attendris. Dîner pantagruélique chez Fatima avant le départ
dominical pour l’hôtel Splendide à Fès.
Après s’être restaurés au bistrot
Italie, qui attire le client avec une affiche de la Lozère, ils vont
prendre le thé chez Azzaoui. Ils y retrouvent une vieille connaissance
« très sympa, plein d’humour et l’esprit toujours vif » : M.
Driss Slaoui, ex-Fadili ! Les deux résidents fassis adressent leurs meilleures
amitiés à tous ceux qui les ont connus.
Le lendemain, le trio décolle à 8h
pour Nîmes d’où le taxi Véru les conduira à l’auberge de la Manou ; en
compagnie de Patricia, elle leur a préparé... non, non, pas un tagine
mais un succulent rôti de veau ! |

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Azzaoui, Driss Slaoui (Fadili) et notre ex-président |
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Mission AAAccomplie pour 2013. Le jeu à
treize a été passionnant.
Merci à tous nos amis et partenaires
locaux et au personnel pour leur accueil si généreux et tous les petits
bonheurs qu’ils nous ont procurés. Bises à toutes et tous et à bientôt ! |
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13 participants donc : André et Andrée Coustaury (les couscous,
A&A)
Michel et Christiane Fabre (Missel et Christ, cricri,
l'ex-Président...)
Paul et Martine Fayolle (les Fafa, Fayfou)
Michel et Hélène Hatchondo (les Hatch, H&M)
Jean-François et Marie-France Launay (les Laulau, la Sévigné de
l'Atlas, MLF...)
Guy Thérond (le Président)
André et Danielle Thoulouze (les Thouthou, DD&D, le Trésorier)
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Nos nombreux anciens élèves et collègues ne peuvent être
tous cités. Dans ceux qui n'appartiennent pas à ces catégories, on
notera Azzaoui, ancien responsables des TP et Cherfaoui, ancien
responsable de la poste. Moha Negrhrassi (et son fils) est un marchand
dont la boutique est située dans un véritable riad, ce qui est assez
rare à Azrou ; c'est un expert en tapis sur lesquels il est un véritable
puits de sciences (mais son fils est maintenant aussi expert que lui).
Aïcha et Mohammed (les Bourhrous) sont les chevilles ouvrières de l'AMAED
d'Azrou (Association marocaine pour l'aide aux enfants diabétiques).
Amal est leur fille surdouée.
Hassan est un ancien collègue prof d'EPS, reconverti épicier, puis
député, enfin retraité, sa femme Soumia dirige Dar-el-Amane qui
accueille des enfants en graves difficultés.
Lekorchi est un ancien collègue prof d'Histoire-Géo qui occupe sa
retraite en réparant des télés ou autres trucs électroniques, dans une
petite échoppe au pied de sa maison.
Les soeurs Naït-Lho furent les vedettes de l'équipe de hand du
collège Al Atlas. Zhor (Bougrine), fille du Directeur dudit collège, est
une militante de la cause Amazigh, régulièrement invitée dans des
instances de l'ONU sur les langues dites minoritaires.
Liste non close... juste pour permettre à celles et ceux qui
découvriraient cette page de situer les personnes évoquées. |
En "bonus" quelques images du périple des Couscous et Thouthou |
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